Le PNNS et le plan obésité fixent comme priorité de réduire les inégalités sociales et territoriales en santé, notamment en augmentant le niveau d’activité physique et sportive, en favorisant l’accès à la pratique, en identifiant les freins à cette pratique.
Le pharmacien d’officine est l’un des rares professionnels de santé que l’on puisse consulter sans rendez vous. Bien informé sur l’environnement professionnel, institutionnel ; il peut être un interlocuteur de premier plan pour améliorer l’état nutritionnel de ses assurés dans le respect des prérogatives qui lui sont confiées.
Cette étude pilote, de « preuve de concept » est justifiée par la nécessité de promouvoir l’activité physique pour la santé de notre population, dans les différents contextes de prévention, primaire, secondaire et tertiaire. L’enjeu final est pouvoir s’appuyer sur les 22 000 officines de métropole et les 600 d’outre mer pour sensibiliser, informer le public, promouvoir la pratique d’une activité physique régulière, sécurisée et adaptée.